Après un vol Montréal/Paris mouvementé par beaucoup de turbulence, un arrêt de 8 heures à Paris obligé, puis un autre vol de 6 heures, Paris/Bamako, me voici enfin branché, bien vivant et prêt à me plonger dans al vie africaine. Puisqu'il était 21:30 à notre arrivée, je n'ai pas eu la chance de voir grand chose, si ce n'est des gens accueillants, souriants et prêts à rendre service.
Premiers détails intéressants, beaucoup de motos, sans casques, à deux ou plus dessus. Peu ou pas de signalisation routière, pas de nom de rues. Le traffic est géré à la va comme je te pousse, mais sans anicroches.
Demain nous pourrons arriver un peu plus tard au bureau, question de refaire le plein de sommeil et de s'adapter au 30 degrés prévus.
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